Nombre de visiteurs

ESOP - AVAS

 

 

 

 

Accueil 
Les Objectifs 
Que fait Avas ? 
Les statuts  
Le Bureau 
Le Réseau 
Avascope 
Communication 
Bibliographie 
Les Partenaires 
Liens utiles 

 

 

 

AvasEvénement Contactez-nousAdhésion

Bienvenue sur le site de l'AVAS

 l'Association Volontaire des Actionnaires Salariés

 

AVAS - Groupe TotalEnergies

Tour Michelet Bureau A 1225
24, cours Michelet
92069 LA DEFENSE CEDEX

e.mail : avas.total@gmail.com

Site internet : www.esop-avas.org

 

 

 

Avascope n° 93

DE-RISKING ET DECOUPLAGE

Le de-risking - ou atténuation des risques - est un néologisme récent. Appliqué d’abord au domaine financier et bancaire, il s’étend désormais au domaine économique. Ainsi, l’Union Européenne le met à présent en œuvre pour réduire sa dépendance économique envers la Chine sans pour autant couper toute relation. En 3 ans, depuis 2019, le déficit commercial de l’UE avec la Chine, a plus que doublé pour atteindre le chiffre vertigineux de 400 G€ en 2022.
En revanche, les Etats-Unis vont au-delà du de-risking et visent plutôt à découpler leur économie de celle de la Chine, pour réduire leur dépendance mais aussi éviter les transferts technologiques et d’éléments dans des secteurs jugés sensibles comme l’IA et les supercalculateurs. Résultat de cette politique de découplage, en 2023 la Chine, premier partenaire des USA depuis plus de 20 ans, a été supplantée par le Mexique, ses ventes aux USA ayant baissé de 20 % en un an pour avoisiner les 400 G€.
Les crises sanitaire et géopolitiques de ces dernières années ont mis en évidence les faiblesses et les risques de l’économie mondialisée, les situations de dépendance économique et les pertes de souveraineté industrielle ou politique pouvant en découler. La crise du Covid-19 a nettement révélé cela pour des biens aussi basiques que les masques de protection ou la fabrication de certains médicaments. La crise énergétique a mis en évidence la dépendance excessive de l’Europe au gaz russe, la Russie pariant sur cette dépendance pour agresser l’Ukraine sans réaction significative, croyait-elle à tort, de l’Europe...
cliquez ici

Avascope n° 92

GUERRE OU PAIX

La paix est le bien le plus précieux de l’humanité. Les peuples aspirent à la paix et à la prospérité qui va de pair, l’économie et les conditions de vie étant meilleures en temps de paix que de guerre.
Mais alors, pourquoi depuis que l’homme est homme, celui-ci n’a-t-il de cesse de tuer son semblable et de se livrer aux pires atrocités et exactions ; au point que lois civiles et commandements religieux interdisent de tuer et qu’un droit de la guerre s’est institué dès l’Antiquité, visant à imposer un code de conduite pour que ‘ le fort n’opprime pas le faible ’ et inciter à la clémence envers les vaincus et les blessés et à ‘ ne pas faire plus de mal qu’il n'est permis ’.
Le principe de juste proportionnalité doit s’appliquer et ‘ les belligérants n’ont pas un droit illimité quant au choix des moyens de nuire à l’ennemi ’.
Des accords internationaux définissent à présent les crimes de guerre (parmi lesquels le fait de s’en prendre volontairement à des objectifs non militaires, aussi bien humains que matériels ; ou encore la torture, la prise d’otages, les violences sexuelles en temps de guerre, l’exécution de civils, de prisonniers de guerre ..). L’incrimination de crime contre l’humanité a été créée par le Tribunal militaire de Nuremberg en 1945 ; le génocide en fait partie. La justice est essentielle à toute paix durable. Au-delà des juridictions nationales, il importe d’avoir des systèmes aptes à rendre cette justice et capables de prévenir et sanctionner crimes de guerre et crimes contre l’humanité ; lesquels peuvent être commis hors de tout conflit armé, comme ce pourrait être le cas au Xinjiang...
cliquez ici

 

Avascope® - L'information aux actionnaires

Pour retrouver tous les numéros d'Avascope, cliquez ici

 

 


Copyright (c) 2005 AVAS. Tous droits réservés. Agence Digital : ADN+